04 Amestris, sous Topkapi

Gezer, capture apres avoir tue une poignee de soldats, passe a tabac, se reveille tumefie dans une cave. Apres des heures d'attente sans manger ni boire, quelqu'un souhaite lui parler. Il s'agit d'Amestris (la sorciere de Dirak), qui a l'air epuisee par le voyage, accompagnee de deux erebeens costauds. Il lui decrit l'allure de notre commanditaire mais ne connait pas son nom. Il nous ecrit un message sur une table de cire qu'elle fait porter a notre auberge pour qu'on se retrouve au temple de Cassios (la predestination).

Pendant ce temps Kali patiente et se repose en haut d'escalier en colimaçon.

On la retrouve le lendemain... on la sent arriver de loin ! Le message de Gezer nous est apporte a notre chambre.

Des esclaves erebeens patrouillent autour du temple; Kali lit dans les pensees, ils nous attendent et nous conduisent a "Madame". Elle veut savoir ce qu'on est venu chercher parmi tout ce qu'on a embarque (le femur contenait une peau qui permettrait aux sorciers de communiquer avec le monde d'ou viennent les betes astrales).

Elle nous promet de la glace et envoie egalement une esclave nous accompagner. On lui rend aussi les objets voles chez elle (Kali garde la bague).

On retourne deux jours plus tard au vieux temple. Ena, une esclave thuleenne nous y attend dans la salle au disque.

On fond un peu de glace sur le disque qui descend. Gezer s'en sert aussi pour faire reduire une blessure a la jambe (infectee par le meme metal).

Les 12 statues sans visage se detachent des alcoves et on plonge par le trou qui s'est forme. On descend l'escalier dans des courants d'air chaud. Des bas reliefs decrivent des monstres abstraits retenus par des humains. On descend pendant une demi heure dans une chaleur lourde et seche. Ena se souvient qu'elle doit dessiner notre periple.

On arrive dans une plus grande salle, des colonnes pliees soutiennent avec difficulte le plafond. Au centre, un piedestal avec le reste d'une statue vaguement humanoide. En vidant des urnes de cendre, et en cassant les orteils (il y en avait 16 !) on recupere des poignards a lame emettant une lueur verte et au manche en os. Une creature monstrueuse apparait et nous poursuit. On garde les lames a la main et le monstre reste a quelques metres de distance. Nos ombres disparaissent tant qu'on garde les armes en main.

A un embranchement on hesite et on suit les vagues de chaleur. On marche pendant une dizaine d'heures, toujours suivis. Quand on decide de se reposer, on decouvre qu'il faut garder les dagues en main sinon la creature se precipite sur nous.

En continuant, le vent nous amene des paroles, des gens discutent joyeusement d'or et d'argent. On tombe sur un groupe de 6 personnes accompagnes d'un crapaud geant qui sont partis en expedition souterraine apres une attaque de betes molles. Celui qui parle s'appelle Koras.

On reprend notre route avec eux; le crapaud (une bete astrale ?) se moque de nous. Pour eviter de se perdre dans les profondeurs, Kali passe un marche avec une creature aqueuse.